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LEGO Brawls, analyse et avis du jeu pour PC, iOS, PS4, Xbox One, PS5, Nintendo Switch et Xbox Series

La saga Smash Bros., représentante bien particulière du genre combat, a déjà donné naissance à une multitude de jeux aux caractéristiques similaires. Et voici le nouveau représentant de cette tendance sur consoles et PC, puisqu’il est sorti il ​​y a quelques temps sur la plateforme Apple Arcade.

Il existe des centaines de jeux de combat de tous styles et formats, donc se démarquer dans ce genre a du mérite. Super Smash Bros. fait partie de ces rares séries qui immédiatement reconnaissable en raison de ses caractéristiques particulières. Une franchise qui, lors de sa première apparition sur Nintendo 64, était une petite révolution dans son genre et qui, avec le dernier opus, Super Smash Bros. Ultimate, a atteint un niveau de finition vraiment exceptionnel.

Eh bien, Bandai Namco et le studio Red Games ont voulu exploiter ce style et cette formule de jeu pour donner vie à l’œuvre en cours, LEGO Brawls, une production qui était exclusive à la plateforme Apple Arcade depuis 2019 et qui, à la fin, atterrit dans les systèmes actuels. Cela valait-il la peine d’attendre ? La réponse courte est non, car ce n’est pas un représentant très éminent du genre. Mais il est également vrai que, du moins à mon avis, il s’agit clairement d’un concentré sur les plus petits, et ce groupe d’utilisateurs peut vraiment passer un bon moment avec LEGO Brawls… surtout s’ils décident de jouer à l’un des modes multijoueurs inclus dans le titre avec leurs amis. Un aspect qui, clairement, devient l’une des plus grandes attractions qu’offre le jeu. Mais cela ne suffira peut-être pas à faire de ce titre un rival important du jeu Nintendo.

Sympathie sans profondeur

La première chose qu’il faut préciser, c’est qu’il s’agit d’un titre qui a une système de contrôle le plus simple. Il est possible de jouer en n’utilisant que trois boutons (un pour l’attaque de base plus deux pour les objets spéciaux), tandis que le déplacement des personnages et le saut (une action qui peut également être effectuée en appuyant sur un bouton si c’est plus confortable pour us) s’effectuent au bâton ou à la traverse. Un schéma qui, comme vous pouvez l’imaginer, ne permet pas un grand nombre d’actions et de mouvements, donc le nombre d’attaques et de combos disponibles est très réduit.

La sympathie devient son point culminant avec son éditeur de personnageCette caractéristique marque grandement le développement des affrontements, qui à moyen terme finissent par être très prévisibles et répétitifs. Il est vrai que le apparence d’objets dans chaque arène il apporte de la grâce aux combats, pouvant battre des rivaux avec des armes plus ou moins traditionnelles (missiles, lasers, etc.), ainsi que d’autres objets moins courants… comme mon préféré : un requin LEGO ! Par contre, le développement des combats est très simple. D’un point de vue latéral, il faut déambuler d’un côté à l’autre des petites arènes en essayant de frapper les adversaires. Et comme une grande différence par rapport à ceux incarnés dans le travail de Nintendo, dans ce cas, il n’est pas nécessaire d’expulser les rivaux des fonds pour pouvoir les casser, puisqu’il suffit d’épuiser leur barre de vie.

Revue des bagarres LEGOGraphiquement, il est assez prudent dans sa simplicité, mettant en évidence les animations des personnages

La sympathie est la note prédominante dans ce travail, et en fait, elle devient son point le plus remarquable avec son éditeur de personnages. Bien qu’au début nous n’en ayons pas trop, au fur et à mesure que nous progressons, il est possible de débloquer des dizaines de nouveaux combattants LEGO, des plombiers aux chevaliers en passant par les ninjas, les pirates ou les chasseurs de primes de l’espace. Mais la meilleure chose est que grâce à un éditeur simple mais très fonctionnel, nous pouvons combiner les différentes pièces des figurines LEGO que nous obtenons pour donner vie à un beaucoup de nouveaux types. Une fonction qui peut donner beaucoup d’elle-même pour tous ceux qui veulent la presser à fond.

Le problème est que, au-delà des modes multijoueurs susmentionnés dans lesquels jusqu’à quatre joueurs peuvent participer en local et huit en ligne (au moins dans la version PS5, qui est celle que j’ai essayée), il n’y a pas grand-chose de plus à faire dans ce jeu. C’est parce que le titre n’est composé que du multijoueur susmentionné (appelé Fiesta) plus le Brawl, qui est le mode arcade de toute une vie. Cette dernière option qui en quelques heures devient incroyablement monotone et peu attrayant.

bagarres lego ps5Le mode 4 contre 4 est l’un des atouts les plus intéressants de ce titre

Ce manque manifeste de contenu devient l’un des principaux fardeaux de ce travail, qui criant pour une mise à jour en tant que DLC (gratuit) qui intègre des modalités traditionnelles supplémentaires dans ce type de titres tels que Survival, Training, Challenges, etc.

En termes techniques, c’est un jeu qui a une apparence simple mais assez suggestive. Les scénarios sont solides malgré le fait qu’ils n’ont pas un niveau de détail du tout remarquable, et le plus remarquable dans toute cette section sont les animations colorées de personnages, qui sont aussi drôles que bien recréés. Et côté son, les mélodies des licences Jurassic World, NinjaGo ou Pirates se démarquent, tandis que les effets sont drôles et rien d’autre.

Rédigé par Yohan

Journaliste , geek. Passionné par la culture japonaise

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